Beaucoup de marques font déjà de la performance sur YouTube.
Mais de façon restreinte, en bas de funnel : soit en remarketing « simple », c’est à dire sans possibilité d’influer sur le volume, soit dans une logique de 2 steps selling pour ouvrir les audiences.
Les inconvénients ?
- Etre dans une logique TV : 1/ branding 2/ remarketing avec deux assets créatifs – en général une vidéo « longue » et une très courte. Risqué.
- Consommer un gros budget €€€ pour faire du Reach/branding en haut de funnel
- Complexe à modéliser / réitérer
- Donc, n’est pas scalable
Sur YouTube, le One step selling – comme sur Facebook/Instagram – est possible. Si vous suivez ces 3 tips.
Tip 1 – La vidéo devient le funnel
L’objectif : la vidéo est structurée pour répondre à toutes les étapes du funnel, de la découverte à la conversion, en passant par la considération.
L’idée : intégrer les 25 éléments créa décisifs dans la vidéo pour être certain de maximiser son impact.
Les avantages : produire un seul asset créa et des variantes en post production. D’ailleurs une vidéo existante TV, Instagram, Facebook, institutionnelle… peut être adaptée en post-production grâce à des « easy to fix ».
Pour aller plus loin : multipliez vos chances de réussir votre campagne vidéo grâce au creative testing.
Décliner sa vidéo master en une dizaine de variantes créatives – avec différents call to action, intro, séquences… – permet de trouver, la ou les winneuses. Un must do quand on sait qu’il y a en moyenne +475% de performance entre la meilleure et la moins bonne variante.
Vous avez déjà une vidéo ?
Mesurez son potentiel business sur YouTube : obtenez son score et tous nos conseils pour l’améliorer et maximiser son impact.
Tip 2 – Toucher massivement son audience
L’objectif : extraire le maximum de performances des audiences Google, en particulier les ciblages larges, affinitaires.
L’idée : ouvrir le plan média sur un maximum d’audiences et donc de reach – sur les 3 hauteurs de funnel – et identifier les combinaisons créa les plus performantes.
Les avantages :
- Continuer à faire tourner ses campagnes sur le bas de funnel, qualifié mais peu volumétrique.
- Et surtout faire de la pub vidéo sur le haut de funnel pour identifier les segments affinitaires ayant un ROI positif. Du volume, de la rentabilité, pas de creative fatigue : la quête du scale.
Les limites : ouvrir les ciblages haut de funnel à la main n’est pas possible. L’utilisation d’un outil s’impose. Tester des variantes créatives sur des dizaines de lignes d’audiences génère plusieurs milliers de combinaisons, impossible à créer et piloter sans techno.
Tip 3 – Définir les bons objectifs de campagne
L’idée : un mindset de Scale vs Hack. Avoir une approche analytique et raisonnable de sa campagne, en parfaite connaissance des KPIs de son site.
L’objectif : tester, mesurer et préparer « le plan ».
Les avantages :
- Tester une campagne sur Q4 est normalement avantageux : la période est propice à l’achat.
- Poser les bases d’un nouveau canal d’acquisition evergreen.
- Préparer la campagne d’après grâce aux learnings data et créa.