RunRun Connect #4
Comment appliquer les codes de la performance à vos vidéos ?

Depuis 1994 où la 1ère bannière online s’affichait (avec un CTR de 44%, rêvons !), les marketeurs ont dû s’adapter constamment aux évolutions des technologies, des usages, des réglementations sans compter les effets “dernières tendances”… pour générer un impact business grâce à leurs campagnes.

Aujourd’hui le monde digital, qui devient tout vidéo, sollicite encore plus ce muscle d’adaptation.

Pour ce quatrième rendez-vous RunRun Connect, Olivier Kargbo, Product manager de VideoRunRun explique comment appliquer les codes de la performance à des campagnes vidéos.

Creative testing : 3 niveaux pour maximiser la performance de vos campagnes vidéos

En résumé

Quels éléments de split-tests appliquer aux campagnes vidéos pour avoir un maximum d’impact ?

Tous.

A commencer par la créa, responsable pour moitié environ de la performance d’une campagne.

On réalise la prise de risque à ne tester qu’une seule variante créa alors que plus d’une vingtaine de variables décisives sont à considérer : intro, CTA, durée, musique, outro, voix off…

VideoRunRun suit le KPI Worst To Best sur chaque campagne. Il est en moyenne de 475%, soit un rapport de quasi X5 entre la meilleure et la moins bonne variante !

Comment s’y prendre ? Voici 3 niveaux de tests selon votre maturité et vos outils.

Niveau 1 – la base

L’objectif : connaître la vidéo qui génère le plus de performance.

L’idée : identifier à partir de 3 à 4 variantes créa (plus de détails sur les créa) la plus performante avant de lancer la campagne. C’est le principe du panel de tests consommateurs en digital.

Les éléments testés : des variantes créa d’une vidéo master et ses redirections, à minima. Difficile d’ajouter d’autres éléments quand on gère les campagnes à la main, cela devient vite complexe.

Les avantages : éviter de faire du guess marketing et dormir tranquille ;-).

Les limites : manuellement il est difficile de tester toutes les variables, ce qui implique de se limiter à une seule audience. Pas de scale possible et pour chaque nouvelle audience, il faudra repasser par le panel test pour connaître la meilleure variante.

Niveau 2 – le propulseur

L’objectif : connaître où se situe la performance.

L’idée : ouvrir le plan média sur un maximum d’audiences pour identifier les combinaisons les plus performantes.

Les éléments testés : créa, redirections, appareils, zones géographiques, démo, audiences sur les 3 niveaux de funnel.

Les avantages :

• un budget maximisé sur les meilleures combinaisons grâce à la data.
• la puissance du scale grâce aux audiences de haut de funnel. La performance est dans le volume, pas dans le retargeting.
• la creative fatigue n’existe pas : le volume des audiences permet d’utiliser un même master de vidéo pendant des années.

Dès cette phase, l’utilisation d’un outil s’impose. Les variables testées génèrent plusieurs milliers de combinaisons, impossible de les créer et de les piloter à la main.

Les limites : bien qu’ayant une grande longévité, la campagne repose sur une seule créa et ses variantes.

Niveau 3 – la fusée

L’idée : comprendre pourquoi la vidéo performe.

L’objectif : s’assurer de positionner la bonne vidéo devant les bonnes cibles et optimiser la créa en continu.

Les éléments testés : tous, avec une granularité forte, en particulier sur les éléments créatifs : type de vidéo (incarnée, motion…), intro, son, CTA, structure, etc.

Les avantages :

• un scale sans limites.
• une campagne qui maximise la performance en continu grâce à une boucle vertueuse créa // data.
• un apprentissage permanent des équipes marketing et créatives sur les vidéos qui performent sur les cibles grâce à la transparence des data (pas de boîte noire,  quoi…).

Aujourd’hui plus de 50 clients utilisent VideoRunRun et s’assurent d’un ROI compris entre X4 et X16 sur YouTube, sur de l’acquisition (audiences de haut de funnel).

Contactez-nous pour en savoir plus ou avoir une démo complète de cette solution.